Don’t Eat the Yellow Snow

 » Don’t Eat the Yellow Snow  » est une chanson sur un homme qui rêve d’être un esquimau nommé Nanook. Sa mère le prévient :  » Fais attention où vont les huskies, et ne mange pas cette neige jaune. »La chanson passe directement en « Nanook La frotte. »La chanson parle de Nanook rencontrant un trappeur à fourrure « strictement commercial » qui fouette le « bébé phoque préféré de Nanook » avec une « chaussure à neige remplie de plomb. » Finalement, Nanook devient tellement fou qu’il frotte des « wee wee » husky dans les yeux du trappeur à fourrure, l’aveuglant. Selon les paroles, cette scène est destinée à prendre la place de « The Mud Shark » (une chanson de l’album live Fillmore East – juin 1971) dans la mythologie Zappa. Zappa chante alors dans la perspective du trappeur à fourrure, qui se lamente du fait qu’il a été aveuglé. Le trappeur à fourrure se rend ensuite à la paroisse de Saint-Alfonzo, introduisant la chanson suivante « Le petit déjeuner aux crêpes de Saint-Alfonzo. »

À partir de ce moment, la suite abandonne presque complètement le scénario précédent (la cécité du trappeur à fourrure n’est jamais explicitement guérie). Dans cette chanson, un homme fréquentant St. Le petit-déjeuner aux crêpes d’Alfonzo se livre à des déportations aussi effroyables que voler des tapotements de margarine sur les tables, uriner sur les cartes de bingo et déclencher une liaison avec une jolie femme mariée dont le mari est dans le Corps des Marines et qui est dans le sadomasochisme. La dernière chanson de la suite, « Père O’Blivion », parle d’un prêtre, le Père Vivian O’Blivion, qui fait les crêpes pour la collecte de fonds de Saint-Alfonzo. Les paroles décrivent de manière quelque peu ambiguë sa récente rencontre sexuelle impliquant un lutin et une chaussette, après quoi le Père proclame que St. Alfonzo serait fier de son exploit. Puis il prononce la phrase latine « Dominus vobiscum, Et cum spiritu tuo (qui signifie « Que le Seigneur soit avec toi et avec ton esprit. »). Ne veux-tu pas manger mes crêpes sordides juste pour le Saint Alfonzo. »Il y a beaucoup de raisons possibles pour lesquelles les crêpes sont « sordides »; Zappa les laisse à l’interprétation de l’auditeur. On ne peut que vaguement dire que la suite suit une histoire et n’est traitée comme une seule pièce qu’en raison des transitions musicales, de la façon dont chaque chanson introduit la suivante et de la façon dont les chansons ultérieures font référence aux chansons précédentes.

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